vendredi 28 novembre 2014

Les petits bonheurs de la semaine #5

Un repos bien mérité. Un chocolat chaud poulain, le meilleur. L'anniversaire de ma colloc Marie. La playlist Disney. Un nouveau vernis. Une capeline enfin trouvée, pas encore achetée. Une sortie imprévue. Un tram de raté. Un joker matinal. Le jogging doudou. Une robe de chagasse. Des cigarettes. Un café en anglais. S'entendre dire qu'on est magnifique. Toujours s'entendre avec son premier amour. Etre rassurée. Des bottes presque neuves. La grande roue de Tours et son marché de Noël. Un tango endiablé. Les premiers cadeaux de Noël. Le futur calendrier de l'avant. Un carré de chocolat en prenant le train. Un meilleur ami d'envisagé. Des textos très tard. Un lapin de posé. Mon logiciel de karaoké. Du gel douche à la fraise. Un nouveau Winnie l'ourson en peluche. Dormir sur ses deux oreilles. Etre là pour mes amis. Danser dans mon lit. Aller à la messe en latin et prier pour tout le monde, même ceux que je n'aime pas. Remercier le ciel de la beauté de chaque jours. Lire vos blogs et enfin répondre à vos commentaires. Arriver en cours très en avance. N'avoir pas besoin de se maquiller pour se trouver jolie. Un regard échangé. Un baiser dans le cou. Un lipstick goût bonbon. Un mascara de folie. Savoir dire non. Mon allergie aux chats. Du colombo dans tous mes plats. Réapprendre à dire je t'aime bien. Lui, toujours trop loin.




lundi 24 novembre 2014

Ce que je renvoie

Très récemment, la bonne soeur qui m'héberge m'a dit que lorsqu'on parlait de moi, on disait que j'étais une fille super, vraiment gentille. Je me suis alors demandée ce que pensaient, et surtout, ce que disaient les gens derrière mon dos.



L'image que je renvoie, je m'en fiche un peu à vrai dire. J'ai pris le parti de n'en avoir pas grand chose à faire depuis le lycée, où l'on parlait énormément derrière mon dos, puisque j'avais des moeurs soit disant à réprouver. Je suis sortie avec un seconde alors que j'étais en terminale, et certaines filles de ma classe se moquaient de moi en disant que j'aurais pu être la mère de mon copain. Passons.
J'ai également toujours eu une sexualité plutôt affirmée, je n'ai pas spécialement de tabous, et je peux te parler de sexe comme je te parle de la dernière fois que j'ai profité de la promo chez Monoprix. Il y avait une rumeur folle, que j'ai appris une fois le lycée fini, soutenant que je sortais tous les soirs avec un garçon différent. Chose totalement insensée puisque j'étais en internat, en internat de fille qui plus est.

Je pense que les gens ont une assez bonne opinion de moi, en général. Bien entendu, j'ai conscience que je peux agacer, certains aspects de ma personnalité sont assez envahissants. Mais je suis quelqu'un de plutôt généreux, qui n'hésite pas à partager et qui adore faire des cadeaux. Et je ne m'achète pas des amis pour autant rassurez-vous.

J'ai compris qu'il fallait que je trace ma route, que ce que les gens pensaient de moi ne devait aucunement me toucher ou m'affecter puisque c'est moi qui décide de mes réactions et de ma façon d'être. Il y a une expression que je trouve un peu extrême, qui est " qu'on parle de moi en bien ou en mal, l'essentiel c'est que l'on parle de moi ". Je préfère qu'on parle de moi en bien ou alors qu'on en parle pas du tout personnellement, même si je sais que c'est plutôt le contraire qui se passe, on a tendance à parler en mal des gens et peu en bien.
A cette précédente expression, je préfère nettement " si tu parles derrière mon dos, c'est que je suis déjà loin devant ". Elle me fait penser à toutes ces jalousies que j'ai pu subir auparavant, plus ou moins consciemment.


Je pense que l'image qu'on renvoie peut être facilement trompeuse, puisqu'il est facile, derrière de beaux atours et de belles paroles, de se donner plus ou moins tel ou tel genre. Mais si on s'attarde ne serait-ce qu'un peu sur une personne, on peut assez vite la percer à jour.

Bien entendu, quand on me fait une remarque, je l'entends et je fais dans la mesure du possible pour la comprendre. Mais le changement ne dépend que de moi. Je me dis que c'est déjà assez difficile de se plaire à soi-même, alors si en plus on doit plaire aux autres...

samedi 15 novembre 2014

Vous parler un peu de moi

Ca y est, nous avons atteint les 30 000 vues sur le blog. C'est une super expérience d'écrire et de savoir qu'on est lu ! Merci à vous... C'est comme de voir une plante faire de jolies fleurs, voir un bébé grandir. Mon blog se nourrit de vos commentaires et de vos passages, je ne sais pas si vous comprenez à quel point il est important pour moi.
J'ai donc décidé de me dévoiler un petit peu. Au travers d'une liste de petites choses sur moi !

Des choses plus ou moins importantes, des choses que vous savez déjà peut-être,  parce que je me répète parfois. Mais j'ai envie de partager un peu plus...




Je vois ma très chère amie Béatrice ce week-end, je vais la chercher à 16h à la gare, je n'en peux plus d'attendre.

Je ne sais pas si je suis amoureuse, je ne pense pas, même si hier, en le voyant, en l'attendant, j'avais des papillons dans le ventre et l'envie folle de courir partout en criant ouiiii il est lààààààà. Je suis bien avec lui, vraiment bien. Et je sais que lui aussi. Il m'a même dit qu'il avait failli m'appeler chérie.

Je me suis bien calmée depuis le début de l'année, des choses pas très faciles m'ont fait grandir. La rupture avec mon ex, se remettre encore en question en se disant est-ce que c'est moi ? Et puis convenir que non, que j'avais tout bien fait, je n'ai rien à me reprocher, j'ai été honnête jusqu'au bout moi. La mort de ma mamie et toute mon enfance qui s'en va avec elle. Elle revient parfois dans mes rêves, elle me manque vraiment. J'avais encore tellement de choses à lui dire.

Mes cours se passent bien, comme je le disais dans un article précédent, j'ai vraiment l'impression d'être à ma place. Et chaque jour, je réalise la chance que j'ai en allant en cours de bon coeur.

On m'a dit que j'étais sexy du cerveau cette semaine. C'était un très beau compliment en y réfléchissant bien. Et puis séduisante tout court, mais c'est une autre histoire.

Je commence doucement à reprendre confiance en moi, à me dire que je ne suis pas si nulle, que même parfois, je peux être jolie. Et que non, décidément, je ne suis pas grosse.

Je suis contente de m'entendre aussi bien avec ma maman en ce moment, il ne se passe pas un jour sans que je lui donne de mes nouvelles, un message de bonne journée, un comment ça va. Je sais qu'elle sera toujours là pour moi et ça me rend vraiment heureuse.

Tout va bien pour moi en ce moment, après une période plutôt sombre, je me rends compte que je suis bien dans ma vie, que je l'aime et que sans doute, elle m'aime aussi.

Des personnes prennent de plus en plus de place dans ma vie, ils prennent de mes nouvelles, me demandent si on peut se voir. J'ai vraiment des amis alors ?

Je vous le dis maintenant, je vous dois bien ça. J'ai des origines asiatiques.

Je crois que j'ai maigri un peu récemment, ou alors c'est ma jupe qui s'est détendue.

Je n'ai pas besoin d'aimer en ce moment. Je suis bien trop occupée. Des câlins et des baisers, des tu es jolie chuchotés me conviennent parfaitement.

J'aime vraiment faire la cuisine. J'ai encore des sushis qui m'attendent dans le frigo. Ca me détend, je ne pense à rien d'autre, et quand c'est vraiment bon, je suis fière de moi !

Je me suis remise à danser, pour moi, dans ma chambre. Et ça fait un bien fou.

J'ai un mur de photos qui se remplit petit à petit. Des souvenirs, des gens que j'aime, des sourires.

Orléans ne me manque pas tant que ça. Tours est vraiment une ville agréable, et pour l'instant je n'y ai fait que de bonnes rencontres.

Il fait un peu froid, mais j'aime bien cette période de l'année où on peut superposer les couches et porter de beaux manteaux. Je cherche d'ailleurs une jolie capeline.

Je vous souhaite un bon week-end, en vous embrassant bien fort sur les deux joues.



mercredi 12 novembre 2014

Et puis tout ça...

Quand est-ce qu'on sait qu'on est amoureux ?

Chaque matin, je pense à quelqu'un. Je me dis tiens si le feu ne passe pas au rouge c'est qu'il pense à moi. Un peu comme dans Un long dimanche de fiançailles. Et le plus souvent, il ne passe pas au rouge.

Est-ce qu'on commence à devenir amoureux comme ça, en pensant chaque jour un peu plus fort, et toujours avec la même ferveur, à une personne unique ?
Ou bien est-ce qu'être amoureux c'est vouloir plus que des conversations tardives, plus que des mots, plus que des paroles, des actes vraiment, rien que pour voir.
De même, y a t-il une différence entre aimer et être amoureux ? Je pose ici un problème bien complexe.


Aimer ça me semble être beaucoup plus noble qu'être amoureux. Sensiblement, c'est la même chose bien entendu, il est toujours question d'amour. Mais l'expression être amoureux me semble un peu plus enfantine, moins mature qu'aimer, qui elle semble tellement forte, tellement lumineuse. Si je dis je suis amoureuse, ça fait un peu cruche, c'est un peu niais. Tandis que j'aime c'est beau, ça sonne clair, ça résonne encore dans l'air.

Alors bien entendu aimer c'est des bisous des câlins et puis tout ça. Et c'est dans ce tout ça que réside le mystère qui rend la chose si belle, si vraie, et si rare. C'est un peu un idéal à atteindre. Il n'y a que rarement que je me suis dit j'aime. J'ai souvent pensé je suis amoureuse, je tombe, c'est une chute et je prie pour qu'on me rattrape au bord de ce gouffre qui happe et qui remue.

De même, j'ai eu souvent l'impression de tomber amoureuse de l'amour, et pas de la personne en elle-même, je pense que vous voyez ce dont je veux parler. J'aimais l'amour, l'idée d'être en couple, et je me berçais d'illusions, je me serinais de faux refrains, de tout est beau et de rien n'est grave.

C'est pour ça que je veux prendre mon temps, ne rien brusquer. Je ne sais pas si je chavire, je ne sais pas ce nous sommes ni ce que nous ne sommes pas. Et au final, quelque part, ça m'arrange.

samedi 8 novembre 2014

Son ombre


 Comme il est amusant de constater comme une relation ratée peut bouleverser le cours des choses. On peut rater ses examens. On peut sauter d'une fenêtre, trouver la balustrade jolie et passer sa jambe au-dessus, juste pour voir. On peut s'abandonner complètement à ses souvenirs, ne plus parvenir à faire la distinction entre le présent et le passé. A lui, cependant, ça ne lui avait rien fait. Il avait continué à vivre, en ne se reprochant que peu de choses. C'était la vie, qu'il se disait. Il y a des choses qu'on accepte, et d'autres pas. Elle n'avait pas accepté, lui lui disait d'oublier. Et puis elle lui avait demandé naïvement, qu'est-ce que tu ferais si tu étais à ma place ? J'oublierais qu'il lui avait répondu, comme si c'était simple d'oublier des baisers doux à mourir et une joie trouble. Mais elle n'oublierait pas, il le savait. Il la croiserait toujours, dans les couloirs. Il la verrait sourire à d'autres, agripper d'autres bras, pleurer parfois. Mais elle ne lui sourirait jamais plus. Il le savait , et ça ne lui faisait absolument rien. Elle était devenue une inconnue, une étrangère qui avait changé au fil du temps. Elle aurait sans doute voulu lui raconter sa vie, tous ces petits détails qui l'avaient changé, qui faisait d'elle quelqu'un de bien, sans doute aujourd'hui. Il la regardait se mouvoir, sans plus rien ressentir. A une époque, il lui en avait voulu. C'était la seule qui avait réussi à le rendre faible. Faible à son sens signifiait sensible. Il était amoureux de cette fille, c'était devenu son monde, son ciel. Rien que son prénom signifiait quelque chose. C'était au-delà des mots et il aurait tellement aimé la serrer fort dans ses bras lorsqu'elle disait être transparente. Et maintenant, force est de constater qu'elle n'était devenue qu'une ombre. Il lui trouvait des airs qui lui auraient déplu aujourd'hui. Elle prenait des airs importants, des airs de mademoiselle tout-le-monde, de je-sais-tout. Elle se disait être une fille gentille, trop gentille. Et c'était vrai, elle n' était pas avare. Chaque fois qu'il la voyait à la pause du matin, elle distribuait quelque chose. Elle rendait aussi parfois, mais souvent elle donnait. Au début, il avait cru qu'elle s'achetait des amis, qu'elle s'entourait de matériel. Mais non, elle était simplement assez naïve pour donner sans penser qu'on ne le lui rendrait pas. Quelle cruche avait-il finis par penser.

    Une jolie cruche cependant. Elle avait bien changé en deux ans. Elle souriait plus aussi, oui ça c'était indéniable. L'appareil qu'on lui avait enlevé y était peut-être pour quelque chose. Elle paraissait aussi moins naïve, avait gagné en répondant. Il se disait quelque part que c'était un peu grâce à lui. Les choses qui ne nous tuent pas nous rendent plus fort. Quand elle croisait son regard, peut-être se sentait-elle invincible ? Cette fille, il n'en avait aujourd'hui qu'une vague idée. Ce qu'elle voulait faire plus tard, oui, c'était flou. Pourquoi il l'avait quitté aussi. Ce n'était pas une fille pour lui, il se résolvait à cette idée fixe et insensée. Jours après jours, elle changeait, elle réussissait à atteindre son idéal de bonheur à elle, son sourire semblait ne jamais vouloir s'en aller et le rose sur ses joues avait finis par rester. Il pensait parfois à ce qu'elle lui avait dis, lorsque le couperet était tombé. Quelque chose comme «  Je trouverai quelqu'un de bien. Et ce sera une vraie histoire d'amour, sans triche ni pièges, et je serais devenue quelqu'un de tellement bien que tu me regretteras toute ta vie. Voilà ! »Oui, c'était exactement ça. Les mots lui étaient revenus un jour lorsqu'il prenait ce raccourci pour rentrer chez lui. Aujourd'hui il la regardait dans les bras d'un autre. Évoluer doucement et mains dans la mains. Sa main, il ne la lui tenait jamais. Il n'avait jamais osé à vrai dire. C'est étrange de se poser les questions lorsque tout est terminé. On se dit on fera mieux la prochaine fois.
Ce mec de deux ans son cadet ne lui allait pas. Ou lui allait trop bien. Il se demanda alors si lui allait bien à son bras. S'il lui seyait telle une jolie veste. Ce mec lui donnait envie de se foutre de sa gueule. Ha, elle se tape un jeune, tu as vu. Tu as vu ton ex ? Ce à quoi elle te compare ? Un type immature. Ce type trop grand et trop jeune pour elle lui donnait envie de lui prouver qu'il n'était pas immature. A qui voulait-il le prouver, à elle, à lui ?



   Peut-être que l'histoire avait pris tout son sens à la fin ? Tout ça n'avait été qu'une effroyable mascarade puisque les amours ne se correspondaient aucunement. La réciprocité des choses n'en était que moindre. Chacun de son côté, ils aimaient l'autre à travers l'image qu'ils se construisaient. L'autre était là, beau, cheminant doucement. On transformait ses qualités en défauts, ou on lui en prêtait qu'il n'avait pas. On maquillait les jours, on maquillait l'absence de réaction devant la situation. Oui, on était bien à se vivre à côté. A n'aimer qu'un idéal. L'histoire, il ne faut pas la nier cependant. Aussi loin qu'ils s'en souviennent tous deux, les moments vécus ensemble avaient pour beaucoup, été heureux. Alors, l'essentiel c'est de se rappeler. Pas forcément ensemble, mais se rappeler ce que ça faisait de les voir ensemble, faire le mur afin de fuir le monde, à la pâleur du jour et le rose aux joues.

Ce texte a été écrit il y a un certain temps, l'époque où j'étais au lycée, il y a trois ans... Souvenir bref et impression de déjà vu... 

Les petits bonheurs de la semaines #3

Je vais citer Miss Blemish, car c'est grâce à elle que j'écris ces petits articles épisodiques ! :) Si tu passes ici, un grand merci ! J'aime beaucoup ton blog très doux et tes écrits qui le sont tout autant.


Une folie de traiteur asiatique. La chanson coeur de chewing gum de Brigitte. Mes chats. Rencontrer quelqu'un qui a fait de l'humanitaire au Tchad. Des escalopes à la crème. Du lait de coco. Le magazine Néon. Le voir mardi. Des espoirs refoulés, à peine osés. Des fous rires entre copines. Retomber en enfance. Un sonomètre. Des champignons frais, ma nouvelle passion. Des paillettes, encore et toujours. Prendre le train un vendredi sur deux, tomber sur une ou deux connaissances à chaque fois. Le bip de validation de ma carte de bus. Les conversations inattendues. Un bonnet à pompon. Le cadeau de Noël de mon petit frère. Quelqu'un qui reprend contact. L'émission Cash Investigation. Changer de vernis trois fois dans la semaine. Voir peut-être Béatrice le week-end prochain. Penser aux décorations de Noël, remarquer les éclairages, et hésiter pour le calendrier de l'Avent. Un thé poire chocolat. S'entendre dire qu'on est mignonne. Les Skype jusqu'à presque une heure du matin, et les conversations Snapchat. Mon addiction à Instagram. Ressortir ma cape de chaperon rouge. Mon Baby Lips. 

mercredi 5 novembre 2014

Dis-moi où tu écris je te dirai qui tu es [TAG]

J'ai été gentiment taggué par Les Jeux de Maux et La Nature et Moi  pour ce tag que je ne connaissais pas !



Les règles :

Décrire avec ses propres mots ce qui se trouve à notre gauche et à notre droite au moment de la rédaction de ce tag. Le but de cela est d'apprendre à mieux connaitre les auteurs des blogs puisque le contexte dans lequel nous écrivons en dit long sur notre personnalité. Après cette présentation, il faut nommer dix autres personnes, et ainsi de suite.

A ma gauche il y a une chaise avec une polaire sur le dossier. J'entasse beaucoup de vêtements sur cette chaise en général, il y a des taches de café dessus, et elle me sert à poser mon ordinateur quand je regarde une série ou un film. Ha oui, elle est orange aussi, un peu comme les chaises des années 70...

A ma droite il y a mon Winnie, offert par mon ex, que j'aime d'amour ( la peluche, pas mon ex ! ) . J'ai eu envie de le jeter ou de le vendre, mais après tout lui il ne m'a rien fait, il ne pouvait pas savoir que ça se terminerait ainsi, alors je le garde. Et je le serre quand je me sens trop seule tout au fond des draps. 

Vous l'aurez compris, je bloggue souvent de mon lit ! 

Je taggue : 


Et c'est tout ! Merci de me tagguer, j'adore ça, surtout quand je n'ai aucune idée d'article !